Mael Iger
Eclairagiste, est impliquée dès ses débuts dans le domaine de la danse.
Considérant l’éclairage comme un élément vivant, intégré à titre de partenaire à la chorégraphie, elle développe des interactions singulières entre la danse et la lumière, aux côtés des chorégraphes québécois Chantal Lamirande et Benoît Lachambre, de la danseuse Marion Ballester, des performeuses nord-américaines Antonija Livingstone et Heather Kravas, du metteur en scène Bruno Geslin.
Son activité professionnelle l’amène aussi à opérer comme régisseuse lumière de la
conceptrice Caty Olive pour les tournées du chorégraphe Christian Rizzo, du concepteur Yves Godin pour les tournées des chorégraphes Boris Charmatz et Michel Schweizer, pour Véra Mantéro et pour le Quartz, Scène Nationale de Brest.
En janvier 2009 elle élargit son champ de création en réalisant un éclairage architectural : elle crée une mise en lumière du Théâtre de Cornouaille, Scène Nationale de Quimper.
Elle poursuit également son travail de recherche au sein de ses propres créations performatives, où elle conjugue danse, éclairage et espace.
Damien Marchal
Le plasticien sonore Damien Marchal travaille depuis plusieurs années autour de différentes problématiques liées au son et aux influences qu’il peut avoir. Il utilise le son comme matériau pour élaborer des pièces et des environnements artistiques. Questionnant aujourd’hui, dans des productions personnelles, l’idée du passage à l’acte dans le domaine de la violence. Il s’efforce de mettre en oeuvre des dispositifs sonores où le son est l’élément fondamental du projet. Dans le projet GARBAGE TRUCK BOMB le son produit l’onde de choc d’une explosion terroriste, alors que dans le projet IED_ (improvised_explosive_device, objet sonore mis en vibration). L’objet devient résonnant et diffuse l’interview entre une Bagdadie et une journaliste américaine.
Cette approche sonore aux multiples ramifications, se met en jeu sous forme de performances, de dispositifs interactifs ou d’installations ainsi que dans des recherches et des collaborations avec d’autres artistes. Comme le photographe Richard Louvet, la plasticienne Pauline Boyer, le musicien Nicolas Mangin et également le chorégraphe et danseur Julien Jeanne.
Olivier Balzarini
Né en 1974 à Chantilly en France. Il s'est intéressé très tôt aux arts plastiques qui l'ont conduit vers le mime et la danse. Entre 1994 et 1996, il fait ses études d'arts plastiques à l'Université de Paris1 Panthéon-Sorbonne, qu'il suivra jusqu'en licence. Puis entre, en 1997, à l'école de Mime du Studio Magenia, sous la direction d'Ella Jarosewicz. En 1999 il intègre la compagnie Gisèlle Vienne D.A.C.M. pour deux créations, Splendid’s et Showroomdummies. Il rencontre ensuite le chorègraphe belge Pierre Droulers qu’il
suivra en tant qu’interprète puis assistant artistique de 2003 à 2010. Parallèlement, il créé le groupe T.N.S.H. collectif d’arts multimédia et de recherches chorégraphiques. Il fait partie aujourd’hui du groupe japonnais Dumbtype pour diverses créations au Japon et en Europe. Il travaille également au Louvre en tant qu’accrocheur pour les expositions temporaires.
Jung-Ae Kim
Née en Corée du sud. Elle est diplômée du Conservatoire de Paris - CNR et a suivi la formation EX.E.R.CE au CCN de Montpellier/Mathilde Monnier. Elle est titulaire du Diplôme d’État de professeur de danse. Elle est lauréate de la bourse de Fondation de France et crée Jamais de Jambes, puis elle reçoit une commande de la SACD et des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis pour créer Doc[독] -
Vif du Sujet 2009. Elle collabore en tant qu’interprète avec Mathilde Monnier, Philippe Quesne, Olivier Dubois, Herman Diephuis, Arend Pinoy, David Drouard, Marion Lévy, Jean-François Peyret, Benoit Bradel et Odile Duboc.
Stéphane Imbert
Après une formation en danse classique, Stéphane Imbert entre en 1982 au Ballet du Rhin à Mulhouse, puis au CCN de Tours sous la direction de Jean-Christophe Maillot. Il rencontre Odile Duboc en 1990 lors de la formation nationale «danse à l’école», et collabore avec elle neuf années notamment pour Projet de la matière et Trois boléros. Pendant cette période, il anime des ateliers pédagogiques au CCN de Franche-Comté à Belfort. Il assiste Anne-Karine Lescop sur le Petit Projet de la matière, une adaptation de Projet de la matière d’Odile Duboc. Il transmet aujourd’hui la pédagogie d’Odile Duboc auprès du CDC de Toulouse, du Conservatoire de Montpellier, et pour l’option danse au BAC. Pédagogue au sein du Théâtre l’Espal au Mans, il anime des ateliers en direction des scolaires, des amateurs et des jeunes en CEF. Avec Marcelle Bonjour, il conduit des formations pour les enseignants de la danse en France et en Suède.
Il collabore aussi pour Georges Appaix, Michel Laubu, Thomas Lebrun Cie Crescendo,
Nathalie Béasse, Boris Charmatz. Il co-signe deux duos: Un air de rien avec Catherine Dreyfus. et des oiseaux de passages avec François Grippeau.
Johann Maheut
«Diplômé de l’école supérieure d’art du Havre, il expose en France et à l’étranger. Ses photographies font partie de la collection du Fond Régional d’Art Contemporain Haute- Normandie. En 2007, il suit la formation ESSAIS au CNDC d’Angers sous la direction d’Emmanuelle Huynh, crée ses premières pièces chorégraphiques et coopère en tant que
scénographe, vidéaste, collaborateur artistique avec Marianne Baillot, Anne Collod, Clara Cornil, João Costa Lima (dans le cadre de l’année de la France au Brésil), Xavier Marchand, Carole Rieussec, Annabel Vergne et David Wampach.
En 2009, il fonde l’association Cereus Plastic avec laquelle il produit ses créations. Il met en scène actuellement «Les invités» une pièce inédite de Thierry Illouz et prépare le projet «C’est donc cela que nous faisons» pièce pour trois interprètes, avec un dispositif acoustique ambisonique.
Yaïr Barelli
né en 1981 à Jérusalem. Après des études en psychologie et linguistique, et avoir travaillé avec plusieurs chorégraphes en Israël, il vient en France en 2008 et s’y installe. Il travaille comme interprète pour différents artistes et chorégraphes : Emmanuelle Huynh, Christophe Le Goff, Marlène Monteiro Freitas, Tino Sehgal. Ses travaux ont été présentés en France, en Allemagne, en Angleterre et en Israël. Il travaille actuellement sur le solo Ce ConTexte et développe différents travaux en collaboration avec Neal Beggs et également avec le collectif åbäke Il intervient pour donner des workshops dans différentes institutions, notamment au CNDC à Angers, à Londres à The Place et à la Haute École d’Art et Design à Genève.
Clarisse Chanel
En parallèle à des études d’arts plastiques à la Sorbonne, où elle oriente son travail vers l’interrogation du corps dans la performance et l’installation, Clarisse Chanel se forme durant deux ans aux Rencontres internationales de la danse contemporaine (RIDC).
Elle intègre ensuite la formation d’artiste chorégraphique au Centre national de danse contemporaine (CNDC) d’Angers, où, de 2009 à 2011, elle travaille avec de nombreux artistes.
Elle enrichit depuis sa pratique d’artiste chorégraphique au côtés de Fabienne Compet, Faustin Linyekula et Dominique Brun. Pour laquelle elle est assistante et l’interprète.
Mélanie Giffard
Née en 1987 à Caen, Mélanie Giffard débute la danse contemporaine dans le milieu associatif caennais. Après sa formation «De l’interprète à l’auteur» en 2008 au sein du CCN de Rillieux La Pape-Cie Maguy Marin, elle rencontre lors d’ateliers en 2009 Myriam Lebreton, Raphaëlle Latini et Vincent Dupont. Ce dernier l’invite à observer un temps de sa création, « Souffles ». En août 2010, elle participe au Skite, chantier de rencontres et de résidences dirigé par Jean Marc Adolphe, Danse Perspective et Youness Anzane.
Depuis 2011, elle rencontre et travaille avec des chorégraphes tels que Héla Fattoumi-Eric Lamoureux, Daniel Clifton, Liz Santoro, Herman Diephuis et Maud Le Pladec, autant d’univers qui questionnent et enrichissent son interprétation.
Gilles Amalvi est écrivain. Il a publié Une fable humaine et AïE ! BOUM aux éditions Le Quartanier. Depuis Radio-Epiméthée, version scénique et radiophonique de Une fable humaine, il se consacre à l'exploration de l'écrit par le matériau sonore. Il a réalisé les lectures sonores de AïE! BOUM, et des Chroniques de John Abdomen (tombeau pour une fiction). Actuellement, il travaille sur le projet Orphée Robot de Combat, poème-concert pour homme-orchestre, la série des Ballades (haïkus à l'ère de la marchandise), ainsi qu'à l'élaboration du roman Kranax. Parallèlement, il écrit pour les Rencontres Chorégraphiques de Seine-Saint-Denis, le festival d'Automne, et le Musée de la Danse à Rennes.
Alice Gill-kahn - Régie Générale et lumière
Après des études littéraires et de théâtre, Alice Gill-Kahn intègre en 2004 la formation PRISME dédié aux différents métiers technique du spectacle vivant. Ce cadre privilégié de formation continue, l’amène à acquérir un savoir faire à travers une multiplicité des expériences dans des salles de spectacles et de concerts à Rennes, à la Comédie Française, l’Opéra Garnier ainsi qu’au festival de cinéma Travelling. Dans une évidence, elle décide de se spécialiser dans l’éclairage au sein de L’institut général des techniques du spectacle de Grenoble et du Théâtre De Bobigny MC 93.
En 2007, elle travaille dans différentes structures, tels que le Théâtre National de Bretagne, le Musée de la danse et l’Opéra de Rennes. Elle évolue au sein de plusieurs compagnies dans les arts de la rue avec L’affaire Foraine, du théâtre avec la compagnie Ni Plus Ni Moins, ou dans la musique avec le groupe Nola’s Noise à travers un univers cabaret.
En août 2009, elle rencontre dans une première collaboration Julien Jeanne à la mise en lumière du projet Héliogravures au Musée de la Danse.
Camille Riquier - Scénographe
C’est d’abord par le jeu théâtral que Camille Riquier explore le spectacle vivant. Elle participe à de nombreux ateliers autour du corps et du jeu masqué avant de se tourner vers la scénographie (Yoshi Oïda, Théâtre du Soleil, compagnie Dérézo).Elle obtient en 2007 une maîtrise d’Arts Plastiques à l’université Rennes 2 puis poursuit une formation de scénographie à l’ENSA de Nantes. Dans ses recherches, elle développe une dramaturgie de l’espace entre transition et circulation et s’attache aux possibles confrontations des matériaux.Son activité professionnelle s’oriente vers les différents champs d’application de la scénographie. Ainsi, elle collabore à des projets variés dans le théâtre (On n’est pas seul dans sa peau ; Notre besoin de consolation - mises en scène de Julie Berès), les arts de la rue et l’espace public (Kabaré Flottant - mise en scène de Charlie Windelschmidt), l’exposition (Bêtes et hommes à La Grande Halle de La Villette), l’opéra (L’Ormindo – mise en scène de Dan Jemmett) et le cinéma (Fin Normal - réalisation de Jonathan Gentil). En 2010, elle rencontre Julien Jeanne, entamant une collaboration autour du projet Un Effleurement.
Céline Roux est docteur en Histoire de l’art et chercheur spécialisé en art chorégraphique. Consacrant une grande part de ses recherches aux pratiques performatives, elle est l’auteur de Danse(s) performative(s) (L’Harmattan 2007). Elle collabore aux projets artistiques de danseurs-chorégraphes contemporains.
Samuel boche - Photographe / vidéaste
Depuis 1998, je m'intéresse à une multitude de thèmes… mais mon sujet de prédilection s'oriente toujours autour des gens, particulièrement dans la ville.
Photographe de rue, je suis plus à la recherche d'une représentation universelle et intemporelle de l'individu que de l'identité ponctuelle de mes sujets. C'est pourquoi je choisis de travailler en priorité sur le terrain, dans des lieux où je peux me perdre dans la foule et observer à ma guise les différents comportements dont je tire mon inspiration, j'investis alors la rue, les gares, les autoroutes, les trains, les parkings, les stades. Mes personnages ne sont plus que de brèves apparitions mises en opposition avec les matériaux qui composent la ville à savoir le mobilier urbain, le bitume des trottoirs, les véhicules, l'architecture. Je compose ainsi un portrait de la ville et de ses habitants.
Mes photographies sont réalisées lors de mes nombreux déplacements. Pour avoir une impression d'espace, de liberté (le sens de liberté viendrait du fait que l'on serait toujours en mouvement), il faut changer de place, bouger, voyager. D'un point de vue fixe, on aurait du mal à mesurer la relation entre soi-même et l'espace qui nous entoure. Voyageur, je deviens anonyme, mon identité s'évanouit (sauf lors des nombreux contrôles policiers…) et sans identité je n'ai pas besoin de me cacher des autres, de jouer le jeu qui justifie mon existence vis à vis des autres…
Mes images assemblées en séquences rappellent que la photographie est le point de départ du langage cinématographique. Story-board, court-scénario, je considère ma pellicule comme un film, une histoire. Ici par trois, là par deux, ici toute seule, mes images ont un rythme saccadé, les jours n'ont pas tous la même allure…
Boris jakobec - Capture et création sonore
Larsens, drones, frottements, vibrations (pulsation), bourdonnements, parasites, bruissements,
évolution, processus, développements, métamorphoses, mouvements, rythme régulier, continu.
Captés, saisis ou fabriqués (produit, réalisé, créé, confectionné, élaboré), Boris Jakobek joue avec les sons et leurs formes.
Il conçoit des installations et compose des morceaux à partir de sons travaillés sur ordinateur. Captés dans son environnement, au gré de ses déplacements, fabriqués à l'aide d'instruments de musiques, ou encore obtenus par frottements, vibrations ou autres manipulations d'objets divers, sa musique a souvent pour base un drone, autour duquel il articule ensuite ses sons. Ses installations consistent en une accumulation d'objets, d'instruments trafiqués/bricolés et de haut-parleurs. Minimaliste, parfois aléatoire, faisant la part belle à l'improvisation, les harmoniques/accords s'enchaînent et s'assemblent dans un rythme sporadique.
Carole Lamour
Nikolas Fouré - Plasticien
Je suis né en 1976, au mois de mai, durant la canicule. J’ai beaucoup pratiqué le sport, principalement la gymnastique, jusqu’à mes 15 ans. Puis j’ai découvert « la vie », l’art, la culture en général et particulièrement les arts plastiques, alors je suis rentré dans une école d’art.
Aujourd’hui je suis plasticien.
Je me promène entre sculpture et performance, dessin et installation ; mes recherches formelles sont multiples et s’égrènent selon les intentions.
Les projets me portent.
J’aime me comparer à un sas, un vecteur qui telle « une machine désirante » prend et rejette.
Comme un niveau il faut trouver l’équilibre : entre soi et les autres, entre ciel et terre (gravité sociale).
J ‘aime les mots, la clarté équivoque, l’absurdité et la contemplation.
Fabien Bossard - Régie générale et lumière
Mon attrait et mon investissement pour les métiers d’éclairagiste et de régisseur résultent à la fois d’une formation théorique, mais aussi et surtout des rencontres que j’ai pu faire avec des techniciens, des metteurs en scène, des scénographes qui m’ont souvent amenées à travailler sur des projets de création en spectacle vivant.
En juin 2003 je valide un C.A.P. d’opérateur projectionniste de l’audiovisuel et en juin 2004 une licence d’arts du spectacle. Cumulant aux études des stages de technicien lumière (auditorium Le Tambour et L’opéra de Rennes), mon engouement pour les métiers techniques du spectacle se prononce rapidement.
Depuis 2005 je travaille régulièrement dans plusieurs structures culturelles dont le centre chorégraphique national de rennes et de Bretagne et le théâtre du Cercle. Cela m’a amené à
expérimenter et accompagner des projets de danse contemporaine et de théâtre.
Ma première création lumière est née de la rencontre avec le metteur en scène de la compagnie Felmur Gweltaz Chauviré pour le spectacle Preparadise Sorry Now en avril 2005 au théâtre du Vieux St. Etienne. Cette collaboration prend suite avec sa prochaine création en novembre 2007.
En novembre 2006, j’intègre la compagnie Là où pour une reprise de régie du spectacle de marionnette contemporaine Mitoyen, suite à la rencontre avec l’éclairagiste Laurent Queyrut.
Vincent Lemeur - Prise de son et création sonore
Diplômé technicien du son à Rennes en 2003, mes expériences dans le milieu du spectacle, de l'audiovisuel et du studio sont aussi nombreuses que variées : perchman cinéma, télé, radio, création de bande son cinéma, télé, radio, installation et sonorisation de spectacle, production cinéma, régisseur et responsable d'un spectacle historique extérieur. Suite à ce vécu, me voilà aujourd'hui disposé à m'installer en Bretagne, et développer des projets aussi techniques que créatifs. Rechercher, développer et collaborer avec d'autres artistes et associations du grand Ouest. J'accumule pour cela l'investissement matériel personnel pour la réalisation de bandes son, la création, l'enregistrement et le stockage sonore pour une sonothèque riche et variée. C'est un travail minutieux qui se développe au jour le jour, notamment grâce aux projets et collaborations dans le spectacle. Mon activité en Bretagne se résume actuellement à la sonorisation et au développement de ma station de montage son. Le but à longs thermes est de construire et développer des réseaux, des ressources sonores, innover et m'investir dans des projets culturels.
David Chevé - Plasticien
« Bien heureux celui qui ne sais pas où il va, car il ira loin ». Après mes études en arts plastiques (maîtrise), rien. Ou presque rien. C'est à ce moment que je décide - ou que s'impose à moi l'idée d'une continuité, c'est à dire l'idée d'un quasi ailleurs qui entretiendrait un rapport avec mon passé. Je participe à ex.e.r.ce au centre chorégraphique national de Montpellier en 2005, ce qui me permet de prolonger donc des réflexions sur le corps déjà entamées durant mon cursus universitaire. Je travaille également depuis 2 ans avec une plasticienne autour de la vidéo sur l'idée d'une danse de société ; et depuis octobre 2005 avec un scénographe à travers des expériences plastiques faisant se confronter ou pour être plus juste faisant se réunir du corps et du décors, de l'espace et du mouvement, des structures et du physique... Pour le dire simplement je me plaît à chercher.
Yoann Demichelis - Collaborateur artistique
Entré initialement au Centre National des Arts du Cirque de Chalons en champagne dans un souci de pratique multiple et indisciplinaire, il en est finalement sorti pour intégrer la formation « Ex.e.r.c.e. » du Centre Chorégraphique National de Montpellier. Depuis, il s’est investi dans différents projets, au théâtre où il a joué dans «Katherine Barker» de Serge Tranvouez,«Monelle» de Zouzou Leyens ; ou en danse avec «Frère et Sœur», «Tempo 76 » et bientôt «Pavlova 3’23» de Mathilde Monnier, «Cribles » d’Emmanuelle Huynh et «Hommage à Nicolas Poussin…» d’Hélène Iratchet.
En parallèle de son travail d’interprète, il a mis en piste «je est où tu suis, environ» pour Grégo Edelein,
collaboré avec la compagnie de théâtre La Querelle en tant qu’intervenant chorégraphique et accompagné Julien Jeanne pour son projet «trois petits points».
Vincent Hursin - Composition sonore
C'est la musique jazz qui révèle ma sensibilité à cet art et mon intérêt particulier porté sur la dissonance des sons et du contre temps. Amateur de musique populaire, des techniques d'écritures nouvelles et des instruments acoustiques, je prends conscience de l'immense possibilité des matières sonores. En 2003, je m'engage dans des études audio-visuelles. Au cours de mes 3 années passées à l'ESRA Bretagne situé à Rennes, je me spécialise en musique, ce qui m'écarte du monde de l'image sans pour autant me désintéresser à cela. Les techniques de prise de son et de mixage m'ont été enseignées. Aujourd'hui, je participe à des projets de court-métrages, de productions musicales ou encore de spectacle vivant qui me renforcent dans mes acquits techniques et créatifs.
Matthieu Ferry - Lumières
1974 : naissance
1990 à 1994 : une 15zaine de spectacles comme éclairagiste en troupe de théâtre amateur
1993 à 1995 : études d’opérateur prise de vue video
1997 : premier spectacle professionnel : Le Roi Lear à Lons Le Saulnier (création lumière)
1996 à 1999 : études de théâtre à l’Ecole de la rue Blanche (E.N.S.A.T.T.), section lumière
Pendant l’Ecole je travaille avec P. Pradinas, F. Rancillac, M. Raskine, C. Stavisky, O. Py, J. Pommerat.
1999 à 2001 : débuts de ma vie professionnelle au théâtre, à l’opéra, dans la marionnette en
compagnies ou au sein des institutions théâtrales. Je travaille la lumière avec C. Stavisky, J. Falguières, V. Vidocq, C. Baqué, G. Lumbroso, P. Labaune, …
vers 2001 : Je commence à m’intéresser de plus près au rapport de l’espace et de la lumière.
commence à construire et à concevoir des décors de théâtre.
Pour un oui ou pour un non avec Emmanuelle Laborit (décor et lumières)…
Deviens donc éclairagiste et scénographe.
Et depuis… : Je continue à travailler au théâtre en croisant de temps en temps des expériences
à l’Opéra, avec A. Campo, M. Evesque, E. Houzé, G. Lumbroso, F. Meier, S. Tranvouez.
Je lie ma formation video à mon travail scénique dans les spectacles de P. Labaune (Prigent, Et jamais nous ne serons séparés, …), de C. Baqué (Bobby Fisher vit à Passadena, Septembre Blanc, Anatole),…
Dernièrement : J’oriente mon travail de la lumière vers une écriture en partitions et en improvisation
en direct : Proust (avec I. Paquet), Et jamais nous ne serons séparés (avec P. Labaune), Il ne faudra plus compter sur moi (avec la plasticienne M), Mes bibliothèques (avec F. Meier),
janvier 2006 : je rencontre Yoann Demichelis dans un spectacle de théâtre. Il me propose une
collaboration sous un chapiteau.
Juillet 2006 : Yoann Demichelis me propose de rencontrer Julien Jeanne pour un travail autour de la manipulation d’objet et de la danse…. une installation chorégraphique…
Chloé Catoire - composition sonore
Elle se forme à L’ENSATT (Ecole Nationale Supérieur des Arts et Techniques du Théâtre) en réalisation sonore. Dans ce cadre elle participe à la création son de La Cerisaie, mis en scène par S. Golomazov.
Depuis sa sortie en 2003, elle travaille en tant que régisseuse son pour divers spectacle (notamment Faust avec la compagnie Cartoun Sardines Théâtre, à Avignon puis en tournée) et participe à plusieurs spectacle théâtrales en tant que créateur son, comme Proust (mis en scène par I. Paquet au théâtre des Marronniers, à Lyon), Et je suis forte et grande et belle (d’après J. Fosse, mis en scène P. Labaune, au Nouveau Théâtre du Huitième, à Lyon), et Le bleus des Ipoés (avec D. Charolles, musicien, et M. Richard, comédien, à Auxerre). Sa participation à Tout est une question de point de vue est une première incursion dans le monde le la danse.
David Yven
direction artistique et Graphisme
Jeremy Malmasson
webmaster et Photographe
Fabrice Luraine
Webmaster et vidéaste